Après la Mère d’Alexis Tsipras (inquiète pour son fils), c’est au tour de Dominique Strauss–Kahn (dit DSK) de s’attaquer à l’épineuse question de l’accord Grèce-EU. Dans une deuxième tribune sur la Grèce, il revient sur les conditions de l’accord conclu entre la Grèce et l’EuroGroup: « A compter nos milliards plutôt qu’à les utiliser pour construire, à refuser d’accepter une perte, à préférer humilier un peuple parce qu’il est incapable de se réformer […] nous tournons le dos à ce que doit être l’Europe, nous tournons le dos à la solidarité citoyenne d’Habermas », regrette-t-il.
Un accord certes, mais « insuffisant » pour DSK: » Les conditions de cet accord, quant à elles, sont proprement effrayantes pour qui croit encore en l’avenir de l’Europe », déplore le désormais Conseiller de F. Castro « chargé des relations avec les USA », très en verve comme dans sa précédente tribune sur la question Grecque. Non, Manuel Valls ne partage pas son avis sur la question, difficile de l’affirmer.
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