Attendu comme «la solution» après son arrivée à Matignon il y un plus d’un an, Manuel Valls, le leader de ce qu’il convient d’appeler «la Droite Socialiste» n’en finit pas de poser «problème » au sein de sa propre majorité, un sentiment de malaise conforté par l‘absence de résultats sur cette ligne libérale qui s’installe progressivement au sein du parti socialiste. Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS (Paris) ne mâche plus ses mots, la charge est violente…
Manuel Valls, un «problème pour la Gauche»? Plus personne n’en doute désormais. Il est en effet difficile de dire qu’il fédère la Gauche autour de sa personne. «Un problème pour la France?». En octobre 2014 déjà, Christophe Perny, président socialiste du Conseil général du Jura, demandait au Premier ministre de « partir », pour (le bien de) la France…
» Manuel Valls doit partir pour la gauche, pour la France« .
Aujourd’hui, Marie-Noëlle Lienemann formule (presque) la même requête, ils doivent savoir très certainement pourquoi.
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