Au PS la fronde ne se cantonne plus au sein de l’hémicycle avec les députés (frondeurs), la contestation s’affiche désormais sans paravent au cœur du système, au sein des instances dirigeantes. Exemple: Le président socialiste du Conseil général du Jura, Christophe Perny demande, dans un communiqué, au Premier ministre de « partir ». Tout simplement :
» Manuel Valls doit partir pour la gauche, pour la France« .
Cité par le Lab Europe1, il pense que la ligne politique de Manuel Valls est « inefficace économiquement et socialement et (…) elle installe comme alternative possible le Front national et Marine Le Pen« . Des propos sévères, symbole de la rupture entre Manuel Valls et le parti socialiste, il s’est marginalisé avec ses prises de positions intempestives. Christophe Perny est dans le ligne affichée par Benoit Hamon : »‘la politique de exécutif menace la République« .
Une question de temps (pour la France).
(…)
Oui, partir et loin, très très loin !
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